Illustration : Druillet (détail)
Terminé la lecture de Salammbô. Quel carnage ! Je n'ai pas compté mais on passe beaucoup plus de temps sur les champs de bataille, au cœur de la mêlée sanglante, que dans la compagnie parfumés de la belle déesse qui donne son nom au roman. Flaubert décrit avec une certaine complaisance les atrocités commises lors de cette guerre restée dans l'histoire comme battant tous les records de cruauté. Repensant à l'adaptation de Druillet, j'ai fouillé dans le grenier à la recherche des vieux numéros de Métal Hurlant. Je croyais à l'époque que le dessinateur de Lone Sloane en rajoutait dans la démesure et dans la violence. Il n'en était rien.
PS : rien sur la claque dans la gueule reçue par Macron ? Ce n'est pas de l'indifférence, c'est du mépris.
RépondreSupprimer