samedi 21 mai 2022
Dans la galerie virtuelle du GFIV
vendredi 20 mai 2022
Retour au El Mocambo
Je me souviens avoir accueilli le double album Love You Live avec consternation. Cette bouillie jouée et chantée sans conviction sonnait tellement creux en comparaison avec les disques qu'on écoutait en cette année 77. Comme nous avions pu le constater aux Abattoir l'année précédente, les titres usés joués par des stars fatiguées ne provoquaient plus de frissons. A la première écoute, on pouvait déceler quelque chose de différent sur la face où se trouvaient Cracking Up, Route 66, Manish Boy, Around an Around et Little Red Rooster, une énergie et un plaisir de jouer à peine gâché par la guitare approximative de Wood. En lisant les notes de pochette, on découvrait que ces titres avaient été enregistrés dans un petit club canadien où les Stones étaient venus jouer par surprise. Nous avons eu l'occasion, depuis, d'écouter des pirates qui promettaient le show intégral et ne tenaient pas leur promesse. C'était un peu comme de rester coincés à l'extérieur du club en tentant d'écouter ce qui se passait à l'intérieur : frustrant mais suffisant pour constater que les Stones avaient encore un peu de jus. La porte s'est enfin ouverte.
jeudi 19 mai 2022
Lecture
Je viens de terminer la lecture de L'Idiot (ça finit mal) et là, je commence celle de Salammbô. Il s'agit d'un livre ancien, une édition pour bibliophiles de 1954 "réservée aux seuls membres du CLUB DU BEAU LIVRE DE FRANCE" avec un tirage 3000 exemplaires numérotés. La maquette n'est pas renversante mais il y a des efforts.
Avantage avec les écrivains de chez nous : une seule version, pas de problème de traduction. J'ai vérifié à partir d'un fichier PDF, c'est le texte intégral.
Voilà. Il ne reste plus qu'à s'installer pour commencer la lecture.
mercredi 18 mai 2022
Faudrait pas débloguer
Bloguer : tenir un journal personnel en ligne (blog).
mardi 17 mai 2022
L'art de l'affiche
lundi 16 mai 2022
Vu
Paris vu par…Jean Douchet, Jean Rouch, Jean-Daniel Pollet, Éric Rohmer, Jean-Luc Godard et Claude Chabrol (1965)
Très décevant. On a l'impression que les réalisateurs ont rivalisé de nullité dans l'écriture des sketchs. Heureusement, il y a quelques (trop rares) plans de rue dans lesquels nous découvrons à quel point l'année 1965 nous semble lointaine et exotique. On pourrait facilement situer ces images dans les années 50. A noter : la deuxième image, extrait du court métrage signé par Chabrol qui s'occupait du quartier de La Muette, semble prise devant le lycée Janson-de-Sailly dans lequel je fus élèves une dizaine d'année plus tard.